Corine Land Cover : Différence entre versions

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Version du 7 janvier 2008 à 10:31

Corine Land Cover

Définition

La base de données géographiques CORINE Land Cover est produite dans le cadre du programme européen CORINE, de coordination de l’information sur l’environnement.

Cet inventaire biophysique de l’occupation des terres fournit une information géographique de référence pour 29 Etats européens et pour les bandes côtières du Maroc et de la Tunisie.

La continuité de ce programme et la diffusion des données sont pilotées par l'Agence européenne pour l'environnement.

En France, l’Ifen est chargé d’en assurer la production, la maintenance et la diffusion.

La base de données CORINE Land Cover 2000, dite CLC 2000, a été réalisée à partir d’images satellitaires de l’année 2000. C’est un véritable référentiel d’occupation du sol, mieux "calé" sur la BD cartographique de l’IGN, et proche par la date des recensements de la population (1999) et de l’agriculture (2000).

Une première version de la base, dite CLC 1990, a été réalisée à partir d’images acquises entre 1987 et 1994. Elle a été corrigée pour de meilleures comparaisons avec CLC 2000.

Méthode

Principes de base

L’information produite par CORINE Land Cover doit être homogène, strictement comparable pour tous les pays concernés et susceptible d’être mise à jour périodiquement. Trois principes fondamentaux ont donc été définis afin de satisfaire ces conditions. Il s’agit de l’échelle de travail, de la définition de la superficie minimale des unités cartographiées et de la nomenclature d’occupation du sol.

L’échelle de travail

Le choix de l’échelle au 1/100 000 pour la production de CORINE Land Cover a été fait pour répondre à plusieurs critères. Cette échelle est bien adaptée aux besoins nationaux et européens de suivi et de gestion de l’environnement ou d’aménagement de l’espace.

Par ailleurs, elle est compatible avec les contraintes de coût de production et d’actualisation ainsi qu’avec celles de délais de réalisation et permet d’envisager une mise à jour régulière. De plus, la plupart des pays de l’Union européenne disposent d’une cartographie régulière à cette échelle. Les limites d’usage découlent de ce choix : la gestion locale d’espaces sensibles ou la surveillance de territoires précis relèvent d’échelles plus précises comme le 1/50 000 ou le 1/25 000 et nécessitent la description d’unités de moins de 25 hectares.

L’unité spatiale et la superficie de la plus petite unité cartographiée

L’unité spatiale au sens de CORINE Land Cover est une zone dont la couverture peut être considérée comme homogène, ou être perçue comme une combinaison de zones élémentaires qui représente une structure d’occupation. Elle doit présenter une surface significative sur le terrain et se distinguer nettement des unités qui l’entourent. De plus, sa structure doit être suffisamment stable pour servir d’unité de collecte pour des informations plus précises. La surface de la plus petite unité cartographiée (seuil de description) est de 25 hectares. Ce choix a été fait pour faciliter la digitalisation des documents d’auteur et l’impression de cartes lisibles, pouvoir représenter les éléments essentiels de la réalité du terrain et conduire à un rapport coût du projet / satisfaction des besoins compatible avec les contraintes financières du projet.

La nomenclature

La nomenclature de CORINE Land Cover est une nomenclature hiérarchisée en 3 niveaux qui permet de couvrir l’ensemble du territoire. Elle comprend 5 postes au niveau 1, 15 au niveau 2 et 44 au niveau 3. Le premier niveau (5 postes) correspond aux grandes catégories d’occupation du sol repérables à l’échelle de la planète, le second niveau (15 postes) est utilisable pour les échelles de 1/500 000 et 1/1 000 000 et le troisième niveau (44 postes) est utilisé au 1/100 000

Le choix d’inventorier l’occupation biophysique du sol

L’élaboration de cette nomenclature d’occupation du sol a été conduite en fonction d’objectifs précis (permettre la cartographie de l’ensemble du territoire de l’Union européenne, connaître l’état de l’environnement et ne pas comporter de postes ambigus). Elle a, par conséquent, été orientée sur l’occupation biophysique du sol et non sur son utilisation ; elle privilégie donc la nature des objets (forêts, cultures, surfaces en eau, roches affleurantes...) plutôt que leur fonction socio-économique (agriculture, habitat…). Les postes à caractère "mixte"

L’un des objectifs de l’inventaire CORINE Land Cover est de cartographier l’ensemble des territoires européens (en 1997 30 pays étaient couverts), sans recourir à un poste "territoire non classé" ou "autre" et, dans un souci de cohérence et d’homogénéité européenne, en définissant le mieux possible chacun des postes de la nomenclature utilisée.

Mais pour satisfaire au critère de superficie minimale des unités cartographiées (25 hectares), certains modes d’occupation des terres ont dû être regroupés au sein des postes suivants :

-Les systèmes parcellaires et culturaux complexes (2.4.2)

Il s’agit ici de petites parcelles de cultures annuelles diversifiées, de prairies et/ou cultures permanentes. Aucune de ces trois catégories ne répond au seuil de 25 hectares (ni au seuil de tolérance qui est d’environ 15 hectares) et ces terres arables, prairies ou vergers occupent chacun moins de 75% de la superficie totale de l’unité paysagère. Ce poste caractérise donc la diversité locale des modes d’occupation des terres.

-Les territoires principalement occupés par l’agriculture, avec présence de végétation naturelle importante (2.4.3)

Ce poste correspond à des territoires agricoles interrompus par des espaces naturels importants (landes, pelouses...). Il est caractérisé par des terres agricoles qui occupent entre 25% et 75% de la surface totale de l’unité paysagère, mais comme pour le poste précédent, aucun sous-ensemble homogène répondant au seuil de description de 25 ha ne peut être isolé.

Méthode

Voici, en images, les cinq étapes principales de la constitution de CORINE Land Cover :


  • 1 - L'image satellitaire de base

La donnée de base de CORINE Land Cover est une image satellitaire SPOT (XS) ou LANDSAT (MSS) reproduite à partir d'une composition colorée dite "fausses-couleurs" sur un tirage photographique à l'échelle de 1/100 000 Sur ce type de document, l'eau apparaît dans des teintes bleues ou noires et les végétaux à forte activité chlorophyllienne en rouge, les zones urbanisées et minérales en gris-bleu...

ImageSat.jpg
  • 2 - La photo-interprétation

L'image satellitaire est interprétée visuellement en s'aidant de données exogènes (photographies aériennes, cartes topographiques IGN et thématiques). Les contours des zones d'occupation du sol homogènes sont reportés sur un calque. Le photo-interprète utilise les 44 postes de la nomenclature (soit 44 types d'occupation du sol) pour classer ces zones. A moins de 25 hectares, elles ne sont pas prises en compte ou sont associées à d'autres unités paysagères pour former une unité homogène, correspondant à un poste de la nomenclature.

PhotoInterpretation.jpg
  • 3 - La numérisation

Le calque final ou "document d'auteur" dont l'emprise correspond à une coupure 1/100 000 IGN (60*40 km) est ensuite mis au propre, contrôlé et numérisé. Chaque contour de zone est géoréférencé. L'opérateur de saisie lui affecte ensuite le code d'occupation du sol figurant sur le calque. Après cette étape, un autre contrôle de qualité est opéré par les photo-interprètes.

Numerisation.jpg
  • 4 - L'assemblage

Les feuilles sous leur forme numérique sont alors assemblées entre elles : les bords de feuilles disparaissent. A ce stade intervient un nouveau contrôle de la qualité. La base de données de l'ensemble des contours de zone est constituée de la totalité de tous les éléments numérisés.

Assemblage.jpg
  • 5 - La finalisation

L'équipe de production procède à une dernière vérification en superposant le document d'auteur à la restitution colorée correspondante de la base de données. Cette dernière est alors disponible sous forme numérique pour sa diffusion et son édition. L'extrait ci-contre couvre une superficie 90 km2 et l'ensemble de la base de données contient 340 000 contours de zone sur une étendue de 580 000 km2 environ.

Final.jpg


Production de base

Superficie : 550 000 km²

Système de projection : Lambert II étendu

Format de distribution : ArcInfo, MapInfo, Shapefile

Type de représentation : polygones (environ 270 000 France entière)

100% du territoire couvert

Structure des données :

Intitulé Type Contenu
AREA flottant superficie en m²
PERIMETRE flottant périmètre en mètres
CODE_OO chaine de 3 caractères code selon la nomenclature

les 44 postes de la Nomenclature

1 Territoires artificialisés

  • 1.1 Zones urbanisées

1.1.1 Tissu urbain continu

Espaces structurés par des bâtiments. Les bâtiments, la voirie et les surfaces artificiellement recouvertes couvrent la quasi-totalité du sol. La végétation non linéaire et le sol nu sont exceptionnels.

1.1.2 Tissu urbain discontinu

Espaces structurés par des bâtiments. Les bâtiments, la voirie et les surfaces artificiellement recouvertes coexistent avec des surfaces végétalisées et du sol nu, qui occupent de manière discontinue des surfaces non négligeables.


  • 1.2 Zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication

1.2.1 Zones industrielles ou commerciales

Zones recouvertes artificiellement (zones cimentées, goudronnées, asphaltées ou stabilisées : terre battue, par exemple), sans végétation occupant la majeure partie du sol. Ces zones comprennent aussi des bâtiments et / ou de la végétation.

1.2.2 Réseaux routier et ferroviaire et espaces associés

Autoroutes, voies ferrées, y compris les surfaces annexes (gares, quais, remblais). Largeur minimale prise en compte : 100 m.

1.2.3 Zones portuaires

Infrastructures des zones portuaires, y compris les quais, les chantiers navalset les ports de plaisance.

1.2.4 Aéroports

Infrastructures des aéroports : pistes, bâtiments et surfaces associées.


  • 1.3 Mines, décharges et chantiers

1.3.1 Extraction de matériaux

Extraction de matériaux à ciel ouvert (sablières, carrières) ou d'autres matériaux (mines à ciel ouvert). Y compris gravières sous eau, à l'exception toutefois des extractions dans le lit des rivières.

1.3.2 Décharges

Décharges et dépôts des mines, des industries ou des collectivités publiques.

1.3.3 Chantiers

Espaces en construction, excavations et sols remaniés.


  • 1.4 Espaces verts artificialisés, non agricoles

1.4.1 Espaces verts urbains

Espaces végétalisés inclus dans le tissu urbain. Y compris parcs urbains et cimetières avec végétation.

1.4.2 Equipements sportifs et de loisirs

Infrastructures des terrains de camping, des terrains de sport, des parcs de loisirs, des golfs, des hippodromes... y compris les parcs aménagés non inclus dans le tissu urbain.


2 Territoires agricoles

  • 2.1 Terres arables

2.1.1 Terres arables hors périmètres d'irrigation

Céréales, légumineuses de plein champ, cultures fourragères, plantes sarclées et jachères. Y compris les cultures florales, forestières (pépinières) et légumières (maraîchage) de plein champ, sous serre et sous plastique, ainsi que les plantes médicinales, aromatiques et condimentaires. Non compris les prairies.

2.1.2 Périmètres irrigués en permanence

Cultures irriguées en permanence ou périodiquement, grâce à une infrastructure permanente (canal d'irrigation). Une grande partie de ces cultures ne pourrait pas être cultivée sans l'apport artificiel d'eau. Non compris lessurfaces irriguées occasionnellement.


  • 2.2 Cultures permanentes

2.2.1 Vignobles

Surfaces plantées de vignes.

2.2.2 Vergers et petits fruits

Parcelles plantées d'arbres fruitiers ou d'arbustes fruitiers : cultures pures ou mélange d'espèces fruitières, arbres fruitiers en association avec des surfaces toujours en herbe. Y compris les châtaigneraies et les noiseraies.

2.2.3 Oliveraies

Surfaces plantées d'oliviers, y compris oliviers et vignes sur la même parcelle.


  • 2.3 Prairies

2.3.1 Prairies

Surfaces enherbées denses de composition floristique composées principalement de graminacées, non incluses dans un assolement. Principalement pâturées, mais dont le fourrage peut être récolté mécaniquement. Y compris des zones avec haies (bocages).


  • 2.4 Zones agricoles hétérogènes

2.4.1 Cultures annuelles associées aux cultures permanentes

Cultures temporaires (terres arables ou prairies) en association avec des cultures permanentes sur les mêmes parcelles.

2.4.2 Systèmes culturaux et parcellaires complexes

Juxtaposition de petites parcelles de cultures annuelles diversifiées, de prairies et / ou de cultures permanentes complexes.

2.4.3 Surfaces essentiellement agricoles, interrompues par des espaces naturels importants

Surfaces essentiellement agricoles, interrompues par de la végétation naturelle.

2.4.4 Territoires agroforestiers

Cultures annuelles ou pâturages sous couvert arboré composé d'espèces forestières.


3 Forêts et milieux semi-naturels

  • 3.1 Forêts

3.1.1 Forêts de feuillus

Formations végétales principalement constituées par des arbres, mais aussi par des buissons et arbustes, où dominent les espèces forestières feuillues.

3.1.2 Forêts de conifères

Formations végétales principalement constituées par des arbres, mais aussi par des buissons et arbustes, où dominent les espèces forestières de conifères.

3.1.3 Forêts mélangées

Formations végétales principalement constituées par des arbres, mais aussi par des buissons et arbustes, où ni les feuillus ni les conifères ne dominent.


  • 3.2 Milieux à végétation arbustive et/ou herbacée

3.2.1 Pelouses et pâturages naturels

Herbages de faible productivité. Souvent situés dans des zones accidentées. Peuvent comporter des surfaces rocheuses, des ronces et des broussailles.

3.2.2 Landes et broussailles

Formations végétales basses et fermées, composées principalement de buissons, d'arbustes et de plantes herbacées (bruyères, ronces, genêts, ajoncs, cytises, etc.)

3.2.3 Végétation sclérophylle

Végétation arbustive persistante, aux feuilles relativement petites, coriaces et épaisses. Y compris maquis et garrigues. Maquis: associations végétales denses composées de nombreux arbrisseaux qui couvrent les terrains siliceux acides en milieu méditerranéen. Garrigues : associations buissonnantes discontinues des plateaux calcaires méditerranéens. Elles sont souvent composées de chênes kermès, d'arbousiers, de lavande, de thym et de cistes blancs. Quelques arbres isolés peuvent être présents.

3.2.4 Forêts et végétation arbustive en mutation

Végétation arbustive ou herbacée avec arbres épars. Formations pouvant résulter de la dégradation de la forêt ou d'une re-colonisation / régénération par la forêt.


  • 3.3 Espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation

3.3.1 Plages, dunes et sables

Les plages, les dunes et les étendues de sable ou de galets du milieu littoral et continental, y compris les lits mineurs des rivières à régime torrentiel.

3.3.2 Roches nues

Éboulis, falaises, rochers, affleurements.

3.3.3. Végétation clairsemée

Comprend les steppes, toundras et "bad lands" (zones sèches avec peu de végétation et présence de roches nues). Végétation éparse de haute altitude.

3.3.4. Zones incendiées

Zones affectées par des incendies récents. Les matériaux carbonisés étant encore présents.

3.3.5. Glaciers et neiges éternelles

Surfaces couvertes par des glaciers ou des neiges éternelles.


4 Zones Humides

  • 4.1 Zones humides intérieures

4.1.1. Marais intérieurs

Terres basses généralement inondées en hiver et plus ou moins saturées d'eau en toutes saisons.

4.1.2. Tourbières

Terrains spongieux humides dont le sol est constitué principalement de mousses et de matières végétales décomposées. Tourbières exploitées ou non.


  • 4.2 Zones humides maritimes

4.2.1. Marais maritimes

Terres basses avec végétation, situées au-dessus du niveau de marée haute, susceptibles cependant d'être inondées par les eaux de mer. Souvent en voie de colmatage, colonisées petit à petit par des plantes halophiles (vivant en milieu salé).

4.2.2. Marais salants

Salines actives ou en voie d'abandon. Parties des marais maritimes mises en exploitation pour la production de sel par évaporation. Les marais salants se distinguent nettement du reste des marais par leurs parcellaires d'exploitation et leur système de digues.

4.2.3. Zones intertidales

Étendues de vase, de sable ou de rochers généralement sans végétation, comprises entre le niveau des hautes et des basses eaux.


5 Surface en eau

  • 5.1 Eaux continentales

5.1.1. Cours et voies d'eau

Cours d'eau naturels ou artificiels qui servent de chenal d'écoulement des eaux. Y compris les canaux. Largeur minimale de prise en compte : 100 m.

5.1.2. Plans d'eau

Étendues d'eau, naturelles ou artificielles, de plus de 25 hectares.


  • 5.2 Eaux maritimes

5.2.1. Lagunes littorales

Étendues d'eau salée ou saumâtre sans végétation, séparées de la mer par des avancées de terre ou autres topographies similaires. Ces surfaces en eau peuvent être mises en communication avec la mer à certains endroits ponctuels, soit de façon permanente, soit de façon périodique à certains moments de l'année.

5.2.2. Estuaires

Parties terminales à l'embouchure des fleuves, subissant l'influence des eaux marines.

5.2.3. Mers et océans

Zones au-delà de la limite des plus basses marées.


Liens, sources et autorisations d'exploitations

La définition de Corine Land Cover ainsi sue les images présentées ci dessus proviennent du site internet de l'Institut Français de l'Environnement (IFEN) qui distribue gratuitement (par téléchargement) la base de données Corine Land Cover.


Site de l'IFEN : http://www.ifen.fr/donIndic/Donnees/corine/presentation.htm


Pour recevoir les produits, le demandeur a les obligations suivantes :

  • motiver pleinement sa requête en décrivant les utilisations prévues (par secteur et par thèmes environnementaux clés)
  • fournir les coordonnées complètes de l’organisme utilisant les produits et des personnes en charge
  • informer sur les découvertes liées aux produits reçus (erreurs ou omissions) et assister l'autorité compétente dans l'amélioration des produits
  • informer sur toutes les applications développées basées sur les données fournies et fournir une information complète et adaptée sur les matériaux produits sur cette base à l'autorité compétente
  • assurer que les résultats du travail pour lesquels les données sont demandées seront accessibles à l'AEE ou à l'Etat membre concerné à un coût de production et de diffusion marginal
  • mentionner les données sources dans toutes les publications relatives et dans tous les autres médias utilisés pour leur diffusion
  • soumettre à l'autorité compétente toute demande de diffusion des produits I&CLC2000 et informer les utilisateurs potentiels de l’identité des structures responsables de la diffusion des produits I&CLC2000
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