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(Les base de données localisées en entrée de l'observatoire et les résultats sous forme d'indicateurs en sortie)
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==Les base de données localisées en entrée de l'observatoire et les résultats sous forme d'indicateurs en sortie==
 
==Les base de données localisées en entrée de l'observatoire et les résultats sous forme d'indicateurs en sortie==
  
Une base de données est un ensemble d'informations (ou données) entre lesquelles on peut établir des relations. Le concept est général : toute fraction de base de données est elle-même une base de données et des bases de données associées forment une base de données plus large. Un système d'information complexe, comme l'observatoire ODR, peut-être considéré comme un ensemble de base de données caractérisant toutes les entités du système. Pour fixer le vocabulaire, nous réserverons le terme de base de données pour les entités géographiques et statistiques (bénéficiaires, dossiers, exploitants agricoles…) qui sont manipulées par les utilisateurs de l'observatoire pour créer des résultats (indicateurs).  
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Une [[base de données]] est un ensemble d'informations (ou données) entre lesquelles on peut établir des relations. Le concept est général : toute fraction de base de données est elle-même une base de données et des bases de données associées forment une base de données plus large. Un système d'information complexe, comme l'observatoire ODR, peut-être considéré comme un ensemble de base de données caractérisant toutes les entités du système. Pour fixer le vocabulaire, nous réserverons le terme de base de données pour les entités géographiques et statistiques (bénéficiaires, dossiers, exploitants agricoles…) qui sont manipulées par les utilisateurs de l'observatoire pour créer des résultats (indicateurs).  
  
Les données qui peuvent être déposées dans l'observatoire par un utilisateur, puis utilisées par lui-même ou par un autre (selon les règles établies pour la circulation des données dans l'observatoire), sont des données LOCALISEES, dite GEOCODEES. Elles se rapportent à une classe d'entité géographique, dont l'index est (par définition) un géocode.  
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Les données qui peuvent être déposées dans l'observatoire par un utilisateur, puis utilisées par lui-même ou par un autre (selon les règles établies pour la circulation des données dans l'observatoire), sont des données LOCALISEES, dite GEOCODEES. Elles se rapportent à une classe [[d'entité géographique]], dont l'[[index]] est (par définition) un géocode.  
  
NB1. La clé géographique universelle de l'observatoire est le référentiel communal INSEE/IGN 1999 (BD "géofla" 1999, licence IGN INRA). Lors du dépôt de données par un utilisateur, la table importée est calée sur ce référentiel et si nécessaire re-indexée avant de pouvoir être référencée. D'autres niveaux géographiques, formés par des ensembles de communes, peuvent être utilisés pour entrer des données, pour peu que ces zonages communaux soit référencés dans l'observatoire (voir : entité géographique), ce qui est du ressort de l'administration. Dans ce cas, les traitements doivent être effectués au niveau de découpage géographique correspondant (ex le canton si ce sont des données cantonales) ; pour les communes qui appartiennent à un même découpage (géocode), la donnée peut être considérée comme une constante.
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NB1. La [[clé]] géographique universelle de l'observatoire est le référentiel communal [[INSEE]]/IGN 1999 (BD "[[géofla]]" 1999, licence [[IGN]] INRA). Lors du dépôt de données par un utilisateur, la table importée est calée sur ce référentiel et si nécessaire re-indexée avant de pouvoir être référencée. D'autres niveaux géographiques, formés par des ensembles de communes, peuvent être utilisés pour entrer des données, pour peu que ces zonages communaux soit référencés dans l'observatoire (voir : entité géographique), ce qui est du ressort de l'administration. Dans ce cas, les traitements doivent être effectués au niveau de découpage géographique correspondant (ex le canton si ce sont des données cantonales) ; pour les communes qui appartiennent à un même découpage (géocode), la donnée peut être considérée comme une constante.
  
NB2. On peut déposer dans l'observatoire des données se rapportant à d'autres entités géographiques que les communes pour peu qu'une table de correspondances existe c'est-à-dire que chaque entité de la classe communales soit rattachée à une commune et une seule (une commune pouvant se voir rattacher aucune, une ou plusieurs entités). On a alors un index géographique secondaire qui fonctionne comme un index de données individuelles.
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NB2. On peut déposer dans l'observatoire des données se rapportant à d'autres entités géographiques que les [[commune]]s pour peu qu'une table de correspondances existe c'est-à-dire que chaque entité de la classe communales soit rattachée à une commune et une seule (une commune pouvant se voir rattacher aucune, une ou plusieurs entités). On a alors un index géographique secondaire qui fonctionne comme un index de données individuelles.
Ce système est mis en œuvre pour fonctionner dans le cas de NATURA 2000. Voir NATURA 2000 dans l'observatoire.
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Ce système est mis en œuvre pour fonctionner dans le cas de NATURA 2000. Voir [[NATURA 2000]] dans l'observatoire.
  
 
L'accès aux données réservées (non déclarées publique par le dépositaire) et aux résultats est limité et contrôlé. Chaque projet dispose de son propre dictionnaire de données utilisables par les membres du projet pour des traitements (selon leurs droits). Il est constitué par les données référencées dans ce projet par les membres du projet ou par des donateurs qui ont préalablement été inscrits dans le projet par son responsable (voir schéma 2). Seul l'utilisateur qui a déposé des données peut les référencer dans un projet. Elles apparaissent alors dans le dictionnaire du projet (avec les métadonnées les concernant) et peuvent être utilisées dans des formules. Lors du premier référencement dans un projet, les données sont renseignées par le "créateur" (l'utilisateur qui les a déposées et qui les référence), elles sont alors référencées, avec les métadonnées les concernant, dans un dictionnaire global et affectées au projet à partir duquel elles sont référencées, éventuellement avec des restrictions spécifiques. Le référencement des mêmes données dans un autre projet s'effectue par une nouvelle affectation de ces données.  
 
L'accès aux données réservées (non déclarées publique par le dépositaire) et aux résultats est limité et contrôlé. Chaque projet dispose de son propre dictionnaire de données utilisables par les membres du projet pour des traitements (selon leurs droits). Il est constitué par les données référencées dans ce projet par les membres du projet ou par des donateurs qui ont préalablement été inscrits dans le projet par son responsable (voir schéma 2). Seul l'utilisateur qui a déposé des données peut les référencer dans un projet. Elles apparaissent alors dans le dictionnaire du projet (avec les métadonnées les concernant) et peuvent être utilisées dans des formules. Lors du premier référencement dans un projet, les données sont renseignées par le "créateur" (l'utilisateur qui les a déposées et qui les référence), elles sont alors référencées, avec les métadonnées les concernant, dans un dictionnaire global et affectées au projet à partir duquel elles sont référencées, éventuellement avec des restrictions spécifiques. Le référencement des mêmes données dans un autre projet s'effectue par une nouvelle affectation de ces données.  
  
 
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Une interface de [[traitement]] permet aux membres titulaires d'effectuer des calculs sur les données et d'organiser les [[résultat]]s du [[projet]]. Cette interface permet, aujourd'hui, de produire un [[indicateur]], c'est-à-dire un résultat sous la forme d'une variable géocodée, à partir d'opérations arithmétiques et booléennes courantes effectuées sur des variables définies au niveau géographique voulu et d'en produire une carte. Si les variables entrant dans le calcul sont individuelles ou d'un niveau géographique inférieur à celui du calcul, elles sont agrégées, selon des modalités précisées dans la [[formule]] de calcul et par défaut lors de l'enregistrement des variables primaires. Une extension en cours de réalisation permettra de calculer en une seule opération plusieurs indicateurs. Voir schéma 3.
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'''Introduire schéma 3'''

Version du 13 mai 2007 à 20:55

L'observatoire des programmes communautaires de développement rural (ODR) est un système d'information au service du développement rural, du suivi et de l'évaluation des politiques publiques.

Accessible par internet, il permet le stockage et la gestion de données localisées et l'édition d'indicateurs statistiques géographiques (calcul, cartographie, publication).

Un système d'information collabiratif géré en partenariat

L'observatoire ODR est un système d'information, que l'on peut représenter par le schéma 1. Les relations entre les entités du système sont soit directement gérées par le système informatique et de façon collaborative par les utilisateurs via les interfaces mises à leur disposition, selon leur statut, soit elles résultent de décisions (des partenaires qui désignent des utilisateurs, du comité de pilotage qui valide les projets et émet des demandes, de l'administration qui attribue les logins développe la partie "publique"), qui sont mises en œuvre par l'administrateur.

AJOUTER SCHEMA 1

Les rectangles noirs du schéma sont des ensembles ou classes d'entités, définies par des attributs listés dans les bases associées (en vert). Les relations sont décrites en rouge. Le circuit détaillé des données et métadonnées est représenté dans le schéma 2. Les différentes classes d'entités et leurs attributs sont décrits ci-après. Le principe général de traitement des données de l'observatoire et de construction d'indicateurs est présenté sur le schéma 3.

Les partenaires sont représentés dans un comité de pilotage. L'administration est assurée par une équipe opérationnelle, qui gère directement plusieurs projets préparatoires à l'évaluation du RDR1 ou au suivi du RDR2 (pour le compte du CNASEA et du MAP), qui administre le serveur (INRA), l'application "carto dynamique" et l'ensemble de la plateforme de logiciels. La mise à disposition et la mise à jour des données géographiques (géoréférencées) sont réservées à l'administration, ainsi que la publication dans les parties publiques de l'observatoire (ouvertes à tout visiteur : projet "visite observatoire" et répertoires des métadonnées).

Les données sont déposées (voir zone de dépôt) par les utilisateurs désignés et agréés par les partenaires. Ces données sont nécessairement des données localisées, au niveau des communes ou d'ensembles de communes, soit "agrégées" (voir agrégation), une valeur par entité géographique, soit "individuelles", plusieurs valeurs par entité géographique (il existe dans ce cas une ou plusieurs clés ou index, autres que géographiques, permettant de distinguer si nécessaire ces valeurs). Les comptes "utilisateur" des partenaires principaux fournisseurs de données (CNASEA notamment) sont gérés par l'équipe d'administration. Toutefois, tout utilisateur titulaire peut déposer des données dans des zones de dépôts réservées (sous sa seule administration) et peut référencer ces données dans tout projet dont il est membre ou inscrit comme donateur (voir schéma 2). Les règles de dépôt et de référencement sont les mêmes pour tous les utilisateurs. La création de projet est libre.

"La mise à disposition des métadonnées sur les entités de l'observatoire dans des répertoires pour les visiteurs"

Toute l'information sur l'observatoire, ce que l'on y trouve, ce qu'on peut y faire et ne pas faire, se trouve sur la page d'accueil du serveur et dans l'encyclopédie cartowiki, une fois connecté comme utilisateur, visiteur ou titulaire.

Les entités documentées (voir schéma 1) sont:
-	les partenaires,
-	les utilisateurs et leurs zones de dépôts,
-	les projets,
-	les bases de données localisées (voir détail ci-après),
-	les index secondaires, non géographiques 
-	les entités géographiques,
-	les résultats.

Remarque: les index définissent des domaines, ensembles de tables comprenant une même clé secondaire, ex: la base des données "CNASEA RDR1". NB: les tables CNASEA RDR1 sont aujourd'hui les seules tables de données individuelles dans l'observatoire (les tables anciennes ne sont pas répertoriées).

Les résultats comprennent :
o	les traitements (sauvegardes),
o	les indicateurs en tant que nouvelles variables 
o	les dossiers thématiques (ensembles de thèmes)
o	les thèmes (traitement validé ) 

Les base de données localisées en entrée de l'observatoire et les résultats sous forme d'indicateurs en sortie

Une base de données est un ensemble d'informations (ou données) entre lesquelles on peut établir des relations. Le concept est général : toute fraction de base de données est elle-même une base de données et des bases de données associées forment une base de données plus large. Un système d'information complexe, comme l'observatoire ODR, peut-être considéré comme un ensemble de base de données caractérisant toutes les entités du système. Pour fixer le vocabulaire, nous réserverons le terme de base de données pour les entités géographiques et statistiques (bénéficiaires, dossiers, exploitants agricoles…) qui sont manipulées par les utilisateurs de l'observatoire pour créer des résultats (indicateurs).

Les données qui peuvent être déposées dans l'observatoire par un utilisateur, puis utilisées par lui-même ou par un autre (selon les règles établies pour la circulation des données dans l'observatoire), sont des données LOCALISEES, dite GEOCODEES. Elles se rapportent à une classe d'entité géographique, dont l'index est (par définition) un géocode.

NB1. La clé géographique universelle de l'observatoire est le référentiel communal INSEE/IGN 1999 (BD "géofla" 1999, licence IGN INRA). Lors du dépôt de données par un utilisateur, la table importée est calée sur ce référentiel et si nécessaire re-indexée avant de pouvoir être référencée. D'autres niveaux géographiques, formés par des ensembles de communes, peuvent être utilisés pour entrer des données, pour peu que ces zonages communaux soit référencés dans l'observatoire (voir : entité géographique), ce qui est du ressort de l'administration. Dans ce cas, les traitements doivent être effectués au niveau de découpage géographique correspondant (ex le canton si ce sont des données cantonales) ; pour les communes qui appartiennent à un même découpage (géocode), la donnée peut être considérée comme une constante.

NB2. On peut déposer dans l'observatoire des données se rapportant à d'autres entités géographiques que les communes pour peu qu'une table de correspondances existe c'est-à-dire que chaque entité de la classe communales soit rattachée à une commune et une seule (une commune pouvant se voir rattacher aucune, une ou plusieurs entités). On a alors un index géographique secondaire qui fonctionne comme un index de données individuelles. Ce système est mis en œuvre pour fonctionner dans le cas de NATURA 2000. Voir NATURA 2000 dans l'observatoire.

L'accès aux données réservées (non déclarées publique par le dépositaire) et aux résultats est limité et contrôlé. Chaque projet dispose de son propre dictionnaire de données utilisables par les membres du projet pour des traitements (selon leurs droits). Il est constitué par les données référencées dans ce projet par les membres du projet ou par des donateurs qui ont préalablement été inscrits dans le projet par son responsable (voir schéma 2). Seul l'utilisateur qui a déposé des données peut les référencer dans un projet. Elles apparaissent alors dans le dictionnaire du projet (avec les métadonnées les concernant) et peuvent être utilisées dans des formules. Lors du premier référencement dans un projet, les données sont renseignées par le "créateur" (l'utilisateur qui les a déposées et qui les référence), elles sont alors référencées, avec les métadonnées les concernant, dans un dictionnaire global et affectées au projet à partir duquel elles sont référencées, éventuellement avec des restrictions spécifiques. Le référencement des mêmes données dans un autre projet s'effectue par une nouvelle affectation de ces données.

AJOUTER SCHEMA 2


Une interface de traitement permet aux membres titulaires d'effectuer des calculs sur les données et d'organiser les résultats du projet. Cette interface permet, aujourd'hui, de produire un indicateur, c'est-à-dire un résultat sous la forme d'une variable géocodée, à partir d'opérations arithmétiques et booléennes courantes effectuées sur des variables définies au niveau géographique voulu et d'en produire une carte. Si les variables entrant dans le calcul sont individuelles ou d'un niveau géographique inférieur à celui du calcul, elles sont agrégées, selon des modalités précisées dans la formule de calcul et par défaut lors de l'enregistrement des variables primaires. Une extension en cours de réalisation permettra de calculer en une seule opération plusieurs indicateurs. Voir schéma 3.

Introduire schéma 3